Du cote de chez Swan

Du côté de chez Swan

Texte a venir 2

Syndrome de la page blanche: fait référence à une peur, celle de la page blanche (aussi désigné par le terme de leucosélophobie).

Ce phénomène peut être dû à la volonté tellement grande de faire une œuvre parfaite, que toute idée qui vient à l’esprit de l’auteur lui paraît systématiquement mauvaise, de telle sorte qu’il devient alors impossible pour lui de commencer ou de compléter son œuvre. Ce syndrome est aussi souvent dû au fait que l’auteur a mis ses personnages dans une situation complexe de laquelle il s’avère incapable de les sortir. Elle peut se traduire, lorsqu’elle se prolonge dans la durée, par un abandon de l’auteur ou une période de dépression au cours de laquelle il perd totalement confiance en lui.

Source: Wikipédia

🙂

En gros, va boire des bières et reviens quand tu seras plus inspiré.

Et donc en attendant, juste ci-dessous, un chef-d’oeuvre musical de alt-J sur deux photographes morts beaucoup trop jeunes: Gerda TARO & Robert CAPA

Indochina: Capa jumps Jeep
Two feet creep up the road
To photo, to record, meat lumps and war
They advance as does his chance
(Ooh) Very yellow-white flash!
A violent wrench grips mass
Rips light, tears limbs like rags
Burst so high, finally Capa lands
Mine is a watery pit
Painless with immense distance
From medic, from colleague, friend, enemy, foe
Him five yards from his leg
From you, Taro
Do not spray into eyes
I have sprayed you into my eyes

3:10 pm: Capa pends death
Quivers, last rattles, last chokes
All colours and cares glaze to grey
Shriveled and stricken to dots
The left hand grasps what the body grasps not
Le photographe est mort
3.1415, alive no longer my amour
Fated for home, May of ’54
Doors open like arms, my love
Painless with a great closeness
To Capa, to Capa Capa dark after nothing
Reunited with his leg and with you, Taro
Taro

Do not spray into eyes
I have sprayed you into my eyes